La femme cerne un petit homme coléreux
Qui ne veut pas dormir ni rêver mais connaître
Et qui refuse de mourir sans tout aimer
Petite femme patiente tu le calmes
Et tu l’affoles selon l’ordre de ta chair
Tu pèses sur son cœur tu allèges son corps
Dans le noir redoutable tu l’immobilises
Il vit sans avenir.