Le matou dont il est parlé dans l’autre strophe
Était le bisaïeul de Murr, ce philosophe,
Dont l’histoire enlacée à celle de Kreissler
M’a fait plus d’une fois oublier que la bûche
Prenait en s’éteignant sa robe de peluche,
Et que minuit sonnait et que c’était l’hiver.
Mon pauvre Childebrand à l’amitié si franche,
Le meilleur cœur de chat et l’âme la plus blanche
Qui se puissent trouver sous des poils aussi noirs,
Cet ami dont la mort m’a causé tant de peine,
Que depuis ce temps-là j’ai pris la vie en haine,
Était aussi l’un de ses hoirs.