Chère ombre à qui je parle bas,
Visage à jamais imprécis
Par qui je ne suis plus d’ici,
Tu sais les excessifs combats
Que ma jeunesse violente
Livrait à la mort insolente
Qui fut mon obsédant souci,
Que je craignis à chaque pas.

C’est qu’alors je ne savais pas
Que tu pouvais mourir aussi…