Virgile, en ce beau mois, je sens moins les douleurs;
Par la nature et toi mon âme dort bercée;
J’ai devant ma fenêtre un jardin plein de fleurs,
Et ton doux livre ouvert sous l’oeil de ma pensée.
22 mai 1847.
Virgile, en ce beau mois, je sens moins les douleurs;
Par la nature et toi mon âme dort bercée;
J’ai devant ma fenêtre un jardin plein de fleurs,
Et ton doux livre ouvert sous l’oeil de ma pensée.
22 mai 1847.